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Culpabilité, croissance spirituelle et autres questions

En fait, la morale est une barrière parce qu’elle est un filtre pour nous et elle est un filtre pour notre entourage aussi. Comme nous avons besoin d’être entourés, il est difficile de vivre seul.

La morale apporte donc de la culpabilité qui nous maintient dans des vibrations basses.

Il ne sert à rien de se sentir coupable, de toute façon, chaque acte que nous accomplissons provoque du karma et donc nous sommes appelés à visiter une perspective appelée moi-même et ensuite nous visiterons la perspective appelée toi-même ou n’importe quel autre moi-même.

Il ne sert à rien de se culpabiliser, il vaut mieux s’élever, transcender et libérer. De toute façon, il faudra vivre la perspective opposée pour savoir ce que l’autre ressent quand on fait telle ou telle chose, c’est une exploration des émotions.

Que nous nous sentions coupables ou non, cela n’a pas d’importance. La seule chose que la culpabilité change, c’est le fait que nous sommes coincés dans des vibrations basses et que nous entrons dans une boucle de culpabilité qui tourne sur elle-même sans fin, sans but, jusqu’à ce que nous lui donnions la permission de se dissoudre dans une vibration plus élevée qui est le pardon, la joie et l’amour.

Chacun de nous fait ce qu’il peut en fonction de son état de conscience au moment où il le fait. Si vous regardez votre passé, vous savez qu’avec l’état de conscience dans lequel vous étiez, vous ne pouviez qu’agir comme vous l’avez fait. Même si vous avez le choix, ce choix consiste à élever votre niveau de conscience et à ne pas créer une nouvelle boucle ou répéter une boucle qui vous enferme. Pour s’en libérer, il faut se détacher de ce pour quoi on y est entré, avec un état d’esprit plus large.

L’arbre fait des cernes qui permettent de compter sa croissance, non seulement son âge mais son passage à travers les cycles. Selon les conditions climatiques, il y aura des cernes plus ou moins rapprochés en fonction de son niveau de croissance. Ainsi, nous dessinons des anneaux qui sont autant de prises de conscience que nous avons acquises au fil des leçons de vie. Selon notre croissance, il y aura plus ou moins d’anneaux rapprochés.

Nous les conservons après notre mort, de sorte que ces anneaux sont comme des grades du niveau de conscience de l’âme. Nous sommes des arbres qui traversent des cycles de croissance spirituelle. C’est tout ce qui compte. Quelle est la question qui se pose lorsque nous sortons de notre conteneur ? Qu’avez-vous aimé ? Comment avez-vous aimé ? Quand avez-vous aimé ? Aimez gratuitement.


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