Comment c'était au début de cette aventure sur cette planète

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Dialogue avec mon Moi Supérieur

Quelle est mon histoire avant la Terre ? Ce n’est pas une question de temps. C’est juste que là, il n’y a pas de temps. Le temps est le point de vue terrestre, c’est une donnée qui est mise en œuvre dans la vie sur Terre. La Terre n’est pas une prison, elle contient de nombreux points d’accès. Le tout est de sortir de tous les points de vue, de monter en vibration et de s’éloigner de notre perception humaine. Et là, tout est là. Tout est dans la perspective. L’histoire n’est pas seulement le temps, c’est la somme de toutes les expériences, dans et hors du temps, y compris celles qui ne sont pas dans notre contenant.

Je demande à avoir accès à l’expérience du moment où j’ai commencé à habiter un corps terrestre sur cette planète. Que vivais-je avant de venir sur Terre ? Au tout début. Suis-je l’un des premiers… pionniers, des premiers fruits ? Je me désidentifie de mon corps. Lorsque j’élève la vibration, ce n’est pas la tension qui monte dans mon corps. C’est calme. C’est l’élévation de la vibration de ma partie spirituelle, de ma partie qui est l’intermédiaire entre mon âme et mon corps pour aller vivre des expériences, revisiter des expériences. Je revisite.

En fait, quand je suis venu sur Terre, c’était un peu comme descendre dans l’abîme pour l’explorer : un peu d’appréhension et beaucoup de confiance. Les choses ne se sont pas faites du jour au lendemain et c’est une expérience d’approche, de descente progressive. Les corps n’étaient pas forcément bien adaptés. J’étais d’abord à la frontière, je faisais des allers-retours, je gardais le contact depuis le sol, petit à petit je me suis habitué à habiter la vibration, à faire descendre la vibration dans cette densité là. Petit à petit, j’ai surmonté mes appréhensions et nuancé ma confiance. J’avais besoin de cette naïveté pour accepter de descendre. Et puis, dans la phase d’exploration et de découverte, petit à petit, j’ai appris la lucidité, l’ego qui permet de survivre dans cet environnement et j’ai prêté de plus en plus attention à ces nouvelles réalités.

J’ai surfé sur les vagues de la découverte et de l’intégration. Une phase supérieure de découverte et une phase inférieure d’intégration. Petit à petit, mes phases d’intégration sont descendues plus bas. La première étape a été une phase de joie, joie de la découverte, de pouvoir encore communiquer avec l’équipe qui me suivait là-haut. Cette descente avait une valeur d’expérimentation, de test et aussi d’exemple. Nous étions les pionniers qui envoyaient des informations depuis le sol, comme les astronautes qui envoyaient des informations depuis la lune vers le contrôle sur Terre. Petit à petit, nous sommes devenus de plus en plus autonomes.

S’il vous plaît, vous qui m’avez accompagné dans ce voyage, dans ce voyage, je vous demande du fond du cœur de revisiter d’où je venais juste avant de descendre sur Terre.

Quelle était ma forme ? C’était une forme de lumière blanche, lumineuse, avec le bonheur d’être aligné avec la divinité, la Source. Nous avions des réunions sur la façon dont nous allions ensemencer cette nouvelle planète avec la vie, avec la conscience, ce voyage de la conscience à travers des formes de plus en plus évoluées. Nous avions convoqué les consciences de tous les mondes pour faire l’expérience de la diversité sur une seule planète. Ce projet était plein de promesses. Nous élaborions des plans très intelligents. Nous faisions des tests. Nous explorions notre vie future. Nous explorions différentes hypothèses, différents processus.

Tout était préparé à l’avance. – On peut parler du temps, au niveau de l’histoire de la Terre, même si sur les autres planètes on connaît ce temps, mais pas sous cette forme. – Nous avions exploré les futurs possibles.

Le test ultime était de savoir si, malgré cette descente dans le sarcophage du corps, nous continuerions à nous souvenir. Nous explorions toutes les possibilités pour créer une base scientifique. Pas dans le même sens que la science. C’était déjà tellement lié à la vision, à l’imagination qu’il n’y avait pas de différence entre l’alignement sur le divin, l’expression de la beauté à travers ce que nous appelons aujourd’hui l’art et la conception du bleu de la Terre dans le sens d’un plan directeur. Il n’y avait pas de séparation. C’est juste que nous avions réparti les rôles. Nous étions plus portés sur la science, tandis que d’autres étaient plus portés sur la beauté…

C’est une confédération qui a créé cette planète. La descente s’est poursuivie et à un moment clé, certaines entités ont utilisé la binarité pour s’insinuer dans le processus, pour descendre plus vite. Ces forces d’ombre et de lumière sont là pour accentuer l’expérience, pour accélérer l’expérience dans le temps. Ces entités ont utilisé des moments propices dans l’horloge cosmique pour accélérer la descente dans l’ombre. Cela a provoqué une déconnexion momentanée de la conscience entre l’ego et l’âme. Ces forces de l’ombre ont travaillé dur pour maintenir l’humanité dans cette lumière sombre.

Elles savent très bien que dans l’horloge cosmique, il y a des moments clés qui sont là pour permettre l’ouverture. Il y a une opposition entre les forces de la lumière et les forces de la lumière sombre.

Les forces de la lumière sombre utilisent la manipulation, l’abus, le traumatisme et la souffrance pour maintenir l’humanité dans une vibration suffisamment basse pour qu’elles puissent se maintenir elles-mêmes.

Les forces de la lumière positive sont ici pour, en promouvant le libre arbitre, la liberté, préparer le prochain moment clé qui nous libérera. Cela signifie explorer les profondeurs et les hauteurs, explorer les vallées les plus profondes, celles qui ne voient presque jamais le soleil, et explorer les sommets. L’objectif est de rétablir l’équilibre afin que l’humanité s’identifie à son moi supérieur, à son âme, et qu’elle mène son expérience à partir de ce point de vue.

Les forces lumineuses positives sont là pour créer cette aspiration à réagir à l’emprisonnement et à trouver cette liberté totale sans être réellement intoxiqué par l’ombre. Nous nous approchions de la Terre en tant qu’observateurs. Et pendant que le corps dormait ou entre les vies, nous continuions à nous rencontrer chaque nuit et entre les incarnations terrestres. La difficulté réside dans la structure du cerveau actuel, qui doit être remodelé pour pouvoir accepter les réalités qu’il ne maîtrise pas complètement. Le cerveau est à la fois une porte passive qui reçoit et une porte active qui filtre pour que l’ego ne soit pas totalement détruit par un afflux de lumière trop vive à l’intérieur.

Avec le libre arbitre, la liberté, l’être peut choisir par des actions répétées une ouverture de sa vision et par des entraînements répétés de dépasser les limites que lui assigne son ego pour laisser entrer de plus en plus de lumière, de connaissance et d’amour. L’ego est une contrainte mais ce n’est pas un mur qui empêche la lumière de passer.


How it was at the Beginning of this Adventure on this Planet

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Catégories channelings