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Chaque nuit, je vous rends visite, chers collègues de l’âme, chaque nuit, je descends l’avenue pour rentrer chez moi dans mon corps physique, nous rentrons à la maison ensemble, en petits groupes. Nous rions et nous nous amusons. Peut-être êtes-vous, cher lecteur, un collègue d’âme. Dans la vie de jour, nous ne savons pas que nous nous connaissons déjà, nous sentons simplement que nous sommes bien ensemble.
L’avenue descend de droite à gauche, doucement vers la Terre. Les rues sont comme une ville où il fait bon vivre et où l’amour règne entre nous. Nous sommes une équipe et nous avons besoin de nous retrouver pour faire le point sur ce que nous avons fait et ce que nous allons faire, pour nous reconnecter et nous redonner de l’énergie.
Nous travaillons, chaque nuit, dans un bâtiment monumental. Nous prenons du plaisir ensemble, ce n’est pas un travail, nous jouons à aider Gaïa, nous jouons à envoyer de belles énergies, avec légèreté et facilité. Nous ne sommes pas des travailleurs de lumière mais des joueurs de lumière. Nous sommes si heureux d’être alignés avec notre moi divin.
Ce rêve, la nuit dernière, est récurrent, toujours la même avenue avec des constructions monumentales alors que je rentre chez moi. Mon cerveau essaie de décrypter ce qu’il reçoit avec ce qu’il a déjà. Le bâtiment peut être un vaisseau stellaire et l’avenue est la route que j’emprunte pour revenir ici.
Je fais des suggestions avant de m’endormir pour me souvenir de tout ce que je peux, je garde mon corps immobile lorsque je me réveille, réfléchissant pour formuler avec des mots ce qui était des symboles.
L’extraordinaire est qu’une écrivaine, Jennifer, dont le guide est Métatron et qui raconte ses rencontres intergalactiques, sans avoir lu ce texte que j’ai écris deux jours plus tôt, a la révélation en répondant à un de mes commentaires que nous travaillons ensemble dans l’astral.